20 Mon Oncle et mon Curé 19. Elle lui souhaita la bienvenue d'un air maussade; après quoi elle se rassit tout d'une pièce. 20. Il y avait des années qu'ils se connaissaient.1 21. Je me demandais ce que je ferais si j'étais à sa place. 22. Nous pouvons partir tout de suite ou attendre le prochain train, comme vous voudrez.2 23. Vous avez beau essayer, vous ne réussirez pas. 24. Il le fit, ce qui nous surprit tous beaucoup. 25. Je m'en tiens toujours à ce que j'ai dit. 26. Quand vous serez plus âgé, vous ne parlerez pas comme cela.3 27. Si vous aviez vécu de leur temps, ils vous auraient arraché la langue et les ongles. II 1. A peine nous fûmes-nous assis que la porte s'ouvrit 2. Pensez-vous qu'il y ait personne qui accepte? 3. Je frappai la table du poing, ce qui me fit grand mal. 4. Que dira-t-il, quand il viendra et qu'il verra cela? 5. C'est une telle bagatelle qu'il ne vaut pas la peine d'en parler. 6. Je veux qu'il m'aime assez pour ne pas être satisfait quand je suis malheureuse. 7. Que vous êtes peu logique !" s'écria-t-elle. 6 8. Ils sont morts depuis si longtemps qu'ils ne devraient guère vous intéresser. 9. Comment aimeriez-vous que j'en fisse autant ?7 10. Vous vous seriez entendus à merveille. II. N'aviez-vous jamais entendu parler de lui auparavant ? 12. S'il ne l'aime pas, elle, en revanche il aime son argent. 13. Nous le lui avons entendu dire à lui-même. 14. J'ai peur qu'ils ne devinent la cause de notre absence. 15. Il n'est pas sûr que je ne fasse pas de même9 un jour ou l'autre. 16. "Il est évident que vous avez raison," dit-elle en battant des mains. 17. N'est-ce pas vous que j'ai rencontré ce matin ? 18. Vous auriez dû arriver bien plus tôt.10 19. Vous avez dû être très fatigué. 1 Or Ils se connaissaient depuis des années. 2 Or comme il vous plaira. 3 Or ainsi de la sorte, de cette façon. Or Nous nous étions à peine 5 Or Comme, or Combien. 6 Or Il y a si longtemps qu'ils sont morts. 7 Or que je fisse de même. 32 1 Mon Oncle et mon Curé ment en 1 moi, et j'entrais dans des discussions qui faisaient presque perdre l'esprit au pauvre curé.2 Pendant nos leçons, les choses allaient bien tant qu'il s'agissait des devoirs à corriger, car, quoiqu'ils fussent aussi courts que possible,3 ils étaient toujours soignés. Mais après cela nous passions à la lecture. Or le curé aimait beaucoup les héros de l'antiquité et admirait leur courage physique. Pour ma part,5 je ne partageais ni ses goûts ni son admiration, mais j'éprouvais une antipathie prononcée pour les Grecs et les Romains. Le curé avait beau se fâcher et raisonner, je le taquinais, je l'ennuyais et le harcelais, et il finissait par dire: "Mademoiselle de Lavalle, vous repasserez vos empereurs romains, et vous prendrez soin de ne pas confondre Tibère avec Vespasien "; et là-dessus il s'en allait en trottinant, sans dire un mot de plus. CHAPTER II III Un jour, le curé et moi, nous nous étions à peine assis à notre table 7 que la porte s'ouvrit et que Perrine entra dans un état de grande agitation. "Le feu est-il à la maison ? demanda ma tante.Non, madame, mais la vache est dans le champ d'orge et les lapins dans le potager." Quand ma tante se fut précipitée dehors à la suite de la domestique, je me tournai vers le curé et lui dis: "Croyez-vous qu'il y ait dans le monde entier une femme aussi abominable que ma tante? Savez-vous ce qu'elle a fait hier? Elle m'a battue! Mais j'ai trouvé le moyen de me venger." Je m'assis à côté de lui. "Vous avez entendu parler de mon oncle de Pavol? Eh bien ! ma tante craint par-dessus tout que je ne me plaigne à M. de Pavol et que je ne lui demande de me prendre chez lui. Je la menacerai d'écrire à mon oncle." En ce moment ma tante entra comme un ouragan. "Reine, venez ici," cria-t-elle. Je lui fis un grand salut, et, sautant sur une chaise à son grand ébahissement, je me laissai glisser par la fenêtre dans le jardin. Le soir, pendant le dîner, elle avait l'air aussi gracieux qu'un dogue 1 Or chez. 2 Or qui mettaient le pauvre curé à l'envers. 3 Or le plus courts possible. 4 Or dont il admirait le 5 Or Pour moi, or quant à moi. 6 Or vous ferez en sorte. 7 Or à peine étions-nous installés à notre table, le curé et moi. 8 Le soir, not Dans la soirée, to avoid dans pendant. 9 Or l'air gracieux d'un .. presented on application Crown 8vo. First Year, 1s. 6d. Second Year, 3s. 6d. MACMILLAN'S PROGRESSIVE GERMAN COURSE BY G. E. FASNACHT FORMERLY ASSISTANT MASTER IN WESTMINSTER SCHOOL First Year. Containing Easy Lessons and Rules on the Regular Accidence. IS. 6d. Second Year. Containing Conversational Lessons in Systematic Accidence and Elementary Syntax. With Philological Illustrations and Elementary Etymological Vocabulary. 3s. 6d. Educational Times-"We have carefully examined these little books, and have no hesitation in recommending them. They are short, handy, and useful; and they seem to us to contain all that is wanted. Teachers should make a note of this work. Schoolmaster-"There is much in these small volumes to commend them to the favourable notice of teachers. The books before us present several features of special excellence. More than ordinary care has been bestowed upon the gradual unfolding of grammatical difficulties exemplified in the exercises. The philological comments, too, will be found helpful. This course seems well suited to its purpose, and we cordially recommend a trial of its merits." School Board Chronicle-"The pupil is furnished with the materials for working little German exercises into English and short English sentences into German. The study of German certainly looks more interesting than usual in these pages. There are full vocabularies at the end of the volumes." TEACHER'S COMPANION TO 66 MACMILLAN'S PROGRESSIVE GERMAN COURSE." With copious Notes, Hints for different Renderings, Synonyms, Philological Remarks, etc. By G. E. FASNACHT. First Year, 4s. 6d. net. Second Year, 4s. 6d. net. London MACMILLAN AND CO., LIMITED NEW YORK: THE MACMILLAN COMPANY All rights reserved 70 PERSONAL PRONOUNS EX. XXXVII Sieben und dreißigste Stunde.—Singular. (1) N. Ich arbeite. A. Er lobt mich. G. Er bedarf unser. (2) N. Ihr wartet (Sie warten). I work. He praises me. He is in need of -me. He replies to-me. Thou waitest. I love thee. I think of-thee. He plays. You see him. You think of-him. It plays. I think of-it. We work. He praises us. He is in need of-us. You wait. A. Ich liebe euch (Sie). I love you. G. Ich gedenke eurer (Jhrer). I think of-you. D. Ich sage (3) N. Sie spielen. euch (Ihnen). I tell to-you. 4. Er sieht fie. They play. He sees them. He thinks of-them. I The shorter forms mein, dein, sein, are often used in poetry and idioms. 2 Seiner can only be used in reference to persons; if referring to things, deffen, deffelben, davon, must be used: Ich bin deffen gewiß. I am sure of-it. Ich weiß nichts davon. I know nothing about-it. A. 1. Vergiß mein nicht!—Ich werde dein nie vergessen. 2. Was ist Ihnen begegnet ?-Ein großes Unglück ist mir begegnet. 3. Was fehlt dir, mein liebes Kind?-Mir fehlt gar nichts. 4. Erinnerst du dich seiner noch?—Ja, sehr wohl. 5. Geht es ihr gut?-Ja, es geht ihr sehr gut. 6. Erwartest du einen Brief von ihnen ?-Nein, sie erwarten einen von mir. 7. Willst du mir gehorchen oder nicht? Ich will Ihnen gerne gehorchen. 8. Es fehlt ihm an Mut. 9. Im Lenz erfreu' ich dich, Im Herbst erquick' ich dich, Im Winter wärm' ich dich! Im Sommer kühl' ich dich, B. I. What had happened to him?-Nothing good (Gutes). 2. Does he remember me?—No, he does not remember you. 3. Does he expect a letter from us?—No, he is expecting one from her. 4. That naughty child will not obey us.-Then punish him. 5. I thank them. 6. I wish you happiness and a long life. 7. It is their turn to speak. 8. What ails him? -Nothing ails him. 9. We don't relish it at all. 2. This C. I. These German exercises are not difficult. bookseller has old and new books. 3. Do not forget thy old friends. 4. The true happiness of men consists in the conscientious fulfilment of their duties. 5. Two thousand five hundred and eighty-seven soldiers have returned to-day. 6. I think (believe) it is a quarter to nine. 7. He is very well. |