Histoire de la littérature latine depuis la fondation de Rome jusqu'à la fin du gouvernement républicain, Volumen4

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C. Delagrave, 1901

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Contenido

Le véritable orateur ne saurait commencer un discours sans être
252
Cicéron déplore la mort de Crassus
260
Cicéron en déploraut la mort dHortensius exprime la douleur que lui causent les malheurs de la république et le silence du forum
266
Isocrate et lharmonic dans la prose
268
Lurbanité de langage particulière à Rome
270
Pour tracer le portrait de lorateur parfait Cicéron remonte avec Platon aux principes éternels et immuables
272
Létude de la philosophie est indispensable à lorateur
274
Cicéron expose le sujet des discours dEschine et de Démosthène sur la couronne
276
Dialogue entre Cicéron et son fils sur les partitions oratoires
278
Cicéron philosophie CVIII Le bon citoyen se doit à la patrie
280
La loi absolue
282
Cest une loi qui sert de fondement à la sagesse et à toute la science de vivre
284
Les exemples des grands font plus de mal que leurs fautes
288
Plaisir que lon ressent à visiter les lieux où les grands hommes ont vécu
290
y a une preuve de limmortalité de lame dans le besoin que les hommes éprouvent de se survivre et dans lintérêt quils pren nent à un avenir qui ne leu...
294
Le vice même toutpuissant ne peut être heureux
296
ny a de vrai bien que celui dont le possesseur peut se glo rifier à bon droit
298
Le monde ne peut être le produit du hasard
300
Les détails de notre structure prouvent lattention de la Provi dence Détails concernant les yeux et les oreilles
302
Songes merveilleux ressemblant à des avertissements des dieux
304
Les conjectures des interprètes de songes ne prouvent quune chose la subtilité de leur esprit
306
Plus que personne le vieillard doit sans regret accepter la mort
308
Caton voit avec bonheur lapproche de la mort
310
Obstacles qui arrètent le plus souvent le développement de lamitié
312
Lestime réciproque est nécessaire dans lamitié
314
La grandeur dame
316
Règles de la conversation
320
De toute délibération vous devez écarter lidée que votre action restera secrète
322
Correspondance de Cicéron CXXX Lettre à Tiron Cicéron
324
Cicéron à Munatius pour lui recommander Livinéius Tryphon
330
Caton à Cicéron Il lui explique pourquoi il nest pas davis
338
Cicéron à Atticus Il lui raconte les attentats de Clodius
344
Cicéron à son frère Quintus Il lexhorte à rendre aussi heureuse
352
Défaite et fuite de Pompée
394
Continuateurs des Commentaires CLXII Danger que court César au siège dAlexandrie
396
règlement des affaires dÉgypte
398
Courage dun légionnaire à la bataille de Thapsus
400
Mort de Caton et reddition dUtique
402
Bataille de Munda
404
Cornélius Népos CLXVII Caractère dAtticus
406
Mort dAtticus
408
Dion
410
Modération de Timoléon
412
Salluste CLXXI Exorde de la seconde lettre à César
414
Lettre de Pompée au Sénat pour se plaindre de labandon dans lequel on laisse son armée
416
Mœurs des premiers temps de la république
420
Péroraison du discours de Catilina aux conjurés
422
Le complot de Catilina est dévoilé le Sénat a déclaré la répu blique en danger
424
Comment Catilina et ses conjurés avaient des partisans nom breux
426
Parallèle de Caton et de César
428
Défaite et mort de Catilina
430
Lhomme sen prend aux circonstances du mal dont luimême est lauteur
432
Micipsa envoie son neveu Jugurtha combattre en Espagne
434
Paroles de Micipsa mourant à son neveu et à ses fils
436
Jugurtha après le meurtre dHiempsal craint dètre châtié par les Romains et corrompt les grands de Rome
438
Métellus rétablit la discipline dans larmée dAfrique
440
Dévouement des frères Philènes à leur patrie
442
Un soldat de larmée de Marius découvre le moyen de sem parer dun fort assiégé depuis longtemps
446
Varron CLXXXVI De lorigine des noms des choses Mots racines et mots dérivés
448
Étymologies latines
450
CLXVXVIII Commencement de la préface du traité dagriculture de Varron A sa femme Fundania
452
Choix et direction des ouvriers dans la culture des terres
454
CXCH Mœurs des abeilles leur essaimage
460
Ennius
466
Cicéron
468

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Pasajes populares

Página 165 - Comata silva; nam Cytorio in iugo Loquente saepe sibilum edidit coma. Amastri Pontica et Cytore buxifer, Tibi haec fuisse et esse cognitissima Ait phaselus...
Página 371 - Cum bellum civitas aut illatum defendit aut infert, magistratus qui ei bello praesint, ut vitae necisque habeant potestatem deliguntur. In pace nullus est communis magistratus, sed principes regionum atque pagorum inter suos jus dicunt, controversiasque minuunt.
Página 369 - Imprimis hoc volunt persuadere, non interire animas, sed ab aliis post mortem transire ad alios, atque hoc maxime ad virtutem excitari putant metu mortis neglecto.
Página 165 - ... eripite hanc pestem perniciemque mihi, quae mihi subrepens imos ut torpor in artus expulit ex omni pectore laetitias.
Página 133 - Nam simul ac species patefactast verna diei et reserata viget genitabilis aura favoni, aeriae primum volucres te, diva, tuumque significant initum perculsae corda tua vi.
Página 137 - ... si non aurea sunt iuvenum simulacra per aedes lampadas igniferas manibus retinentia dextris, lumina nocturnis epulis ut suppeditentur, nec domus argento fulget auroque renidet nec citharae reboant laqueata aurataque templa, cum tamen inter se prostrati in gramine molli propter aquae rivum sub ramis arboris altae non magnis opibus iucunde corpora curant, praesertim cum tempestas arridet et anni tempora conspergunt viridantis floribus herbas.
Página 137 - Denique si vocem rerum natura repente mittat et hoc alicui nostrum sic increpet ipsa: «quid tibi tanto operest, mortalis, quod nimis aegris luctibus indulges? Quid mortem congemis ac fles?
Página 431 - Nunc, quoniam mihi natura finem vitae facit, per hanc dexteram, per regni fidem moneo obtestorque te, uti hos, qui tibi genere propinqui, beneficio meo fratres sunt, caros habeas neu malis alienos adiungere quam sanguine coniunctos retinere. Non exercitus neque thesauri praesidia regni sunt, verum amici, quos neque armis cogere neque auro parare queas; officio et fide pariuntur.
Página 217 - Ego multos homines excellenti animo ac virtute fuisse et sine doctrina naturae ipsius habitu prope divino per se ipsos et moderatos et graves exstitisse fateor : etiam illud adjungo, saepius ad laudem atque virtutem naturam sine doctrina quam sine natura valuisse doctrinam.
Página 165 - Phaselus ille, quem videtis, hospites, ait fuisse navium celerrimus, neque ullius natantis impetum trabis nequisse praeterire, sive palmulis opus foret volare sive linteo.

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